Les gros robots, les affreux aliens, les super-héros, c’est bien ... mais les tours de magie à l’ancienne, la prestidigitation, l’illusion, ça marche toujours, comme nous le démontre ce film ! Comme quand on était gosses ...

Enfin un remake utile... L’Halloween (dont le titre exact était La Nuit des Masques) de Carpenter avait besoin d’un bon dépoussiérage et d’une cure de rajeunissement : c’est désormais chose faite grâce à Rob Zombie !

Une nouvelle référence en matière de film de vampires ? Ca devient presque banal de dire cela, depuis quelques années ... mais c’est pourtant vrai, une nouvelle fois, et on ne va pas s’en plaindre !

Au milieu de l’océan, une entité extraterrestre prend possession d’un bateau de recherche russe et décime son équipage...
Inspiré d’un comic du même nom, VIRUS est un film plutôt efficace de survival horreur... mais quelques lacunes et une désagréable impression de "déjà vu" et de facilité, subsistent le long du film... A découvrir !

Quand Carpenter s’attaque au mythe du Vampire, le thème ultra-classique par excellence du film fantastique … il ne peut évidemment pas le faire comme les autres réalisateurs avant lui !

Ca fait du bien parfois, de voir un film de Science Fiction sans effets spéciaux racoleurs, avec seulement un bon scénario, de bons acteurs, de bons dialogues ... et surtout un bon réalisateur, même si les producteurs du film ne partagent pas de tout cet avis !

Un sujet "bateau", un scénario ordinaire, des acteurs et actrices inconnus, des effets spéciaux plutôt quelconques... oui, mais un grand réalisateur, spécialiste des films d’horreur ! Et ça change tout.

La rencontre de deux mondes qui n’auraient jamais du se rencontrer : celui de Stephen King, l’écrivain fantastique à succès qui ne franchit jamais la limite du politiquement correct et celui de John Carpenter l’anticonformiste provocateur ...

De jeunes acteurs, un réalisateur débutant, un budget maigrichon ... et au bout du compte une indéniable réussite et un film fantastique qui sort des sentiers battus. En résumé : une très bonne surprise !

Ce téléfilm est un petit bijou d’humour et d’aventures fantastiques, une excellente surprise comme on les aime ! Certes, il fait plus que loucher vers un certain Indiana Jones ... mais cette référence est pleinement assumée, et c’est fait avec tant d’intelligence ...

Ca commence comme un film catastrophe façon Le Jour d’Après ... mais un film catastrophe se doit d’être réaliste, ce qui n’est pas du tout le cas de Fusion, qui devient ensuite un véritable film de Science Fiction !

Vous prenez le scénario de l’Exorciste, vous le transposez à l’époque des "cow boys", vous l’estampillez "histoire vraie", vous concoctez une fin à la Shyamalan (l’originalité en moins)... et vous obtenez An American Haunting !

Même s’il souffre de quelques défauts ... ce film a le mérite d’aborder un thème original, rarement traité auparavant, que ce soit en littérature ou au cinéma. Et il serait inspiré d’une histoire vraie !

C’est une honte, un scandale, que ce ce film ne soit pas plus connu ! Si vous êtes amateurs de raretés, de films injustement méconnus ... ou tout simplement si vous avez déjà presque tout vu ... alors ruez vous sur ce film, il en vaut la peine !

Un film réalisé par un des maîtres de la littérature fantastique, avec une distribution relativement prestigieuse et un budget conséquent, cela éveille la curiosité ... et bonne surprise, le film tient ses promesses ! Normal, pour le réalisateur qui a signé Hellraiser, Cabal, et a écrit le scénario de Candyman !

L’ancêtre de Predator ! Avec beaucoup moins de moyens et de muscles, cette série B est néanmoins efficace, avec un alien lanceur de frisbees organiques redoutables, et quelques "gueules" parmi les plus inquiétantes du cinéma américain !

Après Stand By Me, puis Ca, Coeurs Perdus en Atlantide peut être considéré comme le 3ème film inspiré de l’oeuvre de Stephen King ayant comme thème central la nostalgie de l’enfance, et d’une certaine époque.

Près de 30 ans après Shining, Stephen King renoue avec l’ambiance angoissante des chambres d’hôtel, dans un film dont la sobriété et la quasi-absence d’effets spéciaux dénotent à une époque où le gore et le numérique envahissent les écrans...

Ghost in the Shell : littéralement "un fantôme dans la coquille" ? Presque... mais pas tout à fait. "L’esprit dans la machine", comme le dit le slogan, est plus proche de la vérité. Une oeuvre philosophique saluée par James Cameron et aussi la première adaptation manga à être traitée sur les Mondes Etranges !

Un remake du chef d’oeuvre de George Pal de 1960, réalisé par l’arrière petit fils d’Herbert George Wells (l’auteur du roman du même nom) : un cas unique dans l’histoire de la Science Fiction !