Star Trek III - A la Recherche de Spock ( Star Trek III : The Search for Spock )
Cela dit, le scénario tient la route, et on sent bien qu’il avaient préparé leur coup dès le film précédent ! Et pour cet épisode spécial consacré à la rénaissance du vulcain aux oreilles pointues, devinez qui a été choisi comme réalisateur ? Leonard Nimoy lui-même, bien sur !
Star Trek 3 démarre là où Star Trek 2 s’était arrêté : à la mort de Spock. Après que son corps ait été envoyé sur Genesis, tout l’équipage a le moral en berne (d’autant que le fameux vaisseau Enterprise, trop vieux, va être mis au rebut), et particulièrement le docteur Mac Coy, dont le comportement devient bizarre ... logique (comme diraient certains), puisqu’en fait, Spock lui a transféré à son insu son esprit, ou son âme, avant de mourir.
Kirk décide alors d’aller récupérer le corps de Spock sur la planète Genesis, du nom du projet du même nom. Or il se passe sur cette planète des choses très étranges...
Kirk va donc désobéir aux ordres (une vieille habitude), voler l’Enterprise, et ridiculiser au passage l’Excelsor, le plus beau vaisseau de la flotte ainsi que son capitaine, qui pensait pouvoir arrêter facilement Kirk et sa petite bande.
Il se heurtera aux Klingons, attirés par les rumeurs concernant la planète Genesis, finira par récupérer Spock, mais perdra dans l’aventure son fils mais aussi son vaisseau, le fameux Enterprise NCC 1701 ...
L’histoire ne dit pas laquelle des deux pertes va l’attrister le plus, mais pour ce qui concerne les fans, il n’y a pas photo : c’est bien le vaisseau qu’on regrettera le plus !
Quant à Spock, son esprit retrouvera son corps (régénéré par l’effet Genesis) au cours d’une cérémonie sur la planète Vulcain, ce qui libérera ainsi le Docteur Mac Coy de la présence psychique de son vieil ami ...
En fait, Star Trek 2 et 3 sont les deux partie d’un même film, tant il y a de continuité dans le scénario, les personnages ... et même la réalisation, car il faut signaler qu’on ne voit pas vraiment de différence à ce niveau là avec le 2, et c’est tout à l’honneur de Leonard Nimoy.