Un film génial de Carpenter ... Ce n’est pas un pléonasme ? Non, blague à part, cette suite qui peut sembler très commerciale est bien un de ses meilleurs films. Un vrai régal pour cinéphiles, à voir au 1er, au 2ème et au 3ème degré !

Comment faire un film de super-héros qui ne soit pas un plagiat de ceux de la Marvel ? Réponse : en ajoutant une bonne dose d’humour. Pari réussi pour ce film signé Disney, qui nous livre un petit film sans prétention, et très sympa. Une bonne surprise !

On s’attend à un film pour enfant comme tant d’autres et ... c’est bien un film pour la jeunesse... et pourtant ça ne ressemble à rien de connu. C’est nouveau, c’est du Robert Rodriguez. Une fois de plus ... quelle surprise, quel talent, quel génie !

Poubelle or not poubelle, that is the question ... Cela dépend en fait si vous avez vu ou non l’original, et si vous êtes ou non un fan de Carpenter. Dans ce dernier cas, ce sera poubelle sans hésiter. Pour les autres, qui visionneront ce remake sans point de comparaison avec L’original ... vous vous direz sans doute qu’il s’agit d’un gentil petit film fantastique comme on en voit tant ... Ni plus, ni moins.

5ème et dernier épisode du « Cycle de Corwin » (puisque Zelazny a ensuite démarré un second cycle), il le clôture en beauté Finies les discussions, les intrigues, les complots et les faux-semblants : place à l’action, comme dans toute conclusion d’un saga d’Heroic Fantasy !

Dans ce quatrième tome de la série, les choses se précisent et les méchants sont enfin identifiés ... et surtout l’un d’entre eux. Mais du côté des bons, il faut s’attendre à une surprise, à la dernière ligne de la dernière page du dernier chapitre ...

Un véritable chef d’oeuvre de la SF ... dans un genre tout à fait nouveau à l’époque, et aussi un film sobre, sérieux, sans concession, qui nous décrit un avenir qui fait un peu (beaucoup) froid dans le dos ... Depuis, je ne vois plus mon ordinateur tout à fait de la même façon ...

Le premier était un chef d’oeuvre, le second un excellent film... Bonne surprise, même sans James Cameron, ce 3ème volet tient la route, même si le scénario commence à sentir un peu le "réchauffé" et qu’on se dit qu’il est temps de passer à autre chose ...

Ce troisième tome est à plusieurs titres la charnière (c’est normal, puisque c’est le troisième sur cinq) de cette première série des Neuf Princes d’Ambre. On commence donc à comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui va constituer le dénouement de l’histoire dans les deux volumes suivants.

Une saga, comme son nom l’indique, qui va au delà du temps... Une saga plutôt familiale d’ailleurs, avec une belle histoire d’amour, et des voyages dans l’espace. Oui, mais ...

Quand on y pense, c’est incroyable : alors que cela fait plusieurs dizaines d’années qu’on voit sur nos écrans des dinosaures ... il aura fallu attendre les années 90 pour voir enfin un film autour d’un thème au moins aussi mythique (et même plus car les dinosaures, eux, ont existé !) : celui des dragons. Par chance, ce coup d’essai est aussi un coup de maître !

Difficile de ne pas penser au film Lifeforce (et accessoirement à Mathilda May) en lisant ce livre, tant le début, et le thème central en sont proches. Et pour cause, puisque le film, sorti en 1985, en est inspiré, avec Dan O’Bannon au scénario et Tobe Hooper à la réalisation, rien que ça ! Ce film, qui était pourtant loin d’être un chef d’œuvre, était regardable. Alors que ce roman, en dépit de certaines qualités, nous laisse quelques regrets. Il aurait pu être excellent, si ... mais avec des si ...

Ce sont les dragons qui ont éliminé les dinosaures de la planète. Vous ne le saviez pas ? Et ensuite, comme ils n’avaient plus rien à manger, il se sont endormis. Pendant, très, très, très longtemps. Nous les avons réveillés, et en dépit de nos armes, nous n’avons rien pu faire contre ces terribles prédateurs capables de se reproduire à une vitesse terrifiante et de tout carboniser sur leur passage. Le film se déroule donc dans un présent parallèle, où il ne reste plus que quelques poignées d’humains, et déjà guère plus de dragons. La faim (la fin ?) guette les uns et les autres ...

Ce qu’il y a de bien avec Anne Rice, c’est que ses récits ne manquent pas d’envergure. Quand elle nous raconte une histoire, cela se passe rarement sur une ou deux générations... Non, on en prend au minimum pour quelques siècles. On l’avait déjà constaté au travers de ses romans concernant les vampires (dont le fameux Entretien...). C’est encore le cas avec ce 3ème volume de sa saga des sorcières. Où l’on découvrira, entre autres choses, l’origine de Stonehenge selon Anne Rice ...

On en prend d’autres et on recommence ! Mais peu importe, c’est toujours aussi efficace, voire plus avec le retour de James Wong aux manettes (c’était déjà lui sur le premier). Cette fois, tout commence dans une fête foraine. A vous dégoûter à vie des rollercoasters ... oui, bon, des montagnes russes si vous préférez !

On pourrait presque dire que c’est génial ... si on n’avait pas vu Jumanji avant ! Car le scénario, à peu de choses près, est le même. Et pour cause : les producteurs sont les mêmes, et le film a été adapté d’un roman de Chris Van Allsburg, comme Jumanji (et Le Pôle Express, accessoirement). Mais qu’importe : même s’il y a un léger sentiment de déjà vu, le film conserve un charme indiscutable, entre film pour enfant et conte pour adulte ... à moins que ce soit l’inverse !

Pas de surprise côté scénario : celui du premier était aussi simple qu’efficace, celui du second se contente de poursuivre sur sa lancée. Une seule différence, au lieu d’un accident d’avion, c’est cette fois un accident de la route (très spectaculaire, un modèle du genre) auquel nos héros échappent cette fois, toujours grâce au « sixième sens » (prémonition) d’une des leurs.

Une idée simple et originale suffit-elle à faire un bon film ? Avec un peu de talent du réalisateur - ce qui est le cas, et pas qu’un peu - il semblerait que la réponse soit oui ! Comme tout semble simple, facile, évident ... et ce qui aurait pu être le 357ème film d’adolescents devient un film culte, bientôt suivi par un numéro 2, puis un numéro 3, dont nous reparlerons ...

Croyez-vous que l’on puisse encore, après tant de tentatives, faire un film de morts vivants qui sorte un peu de l’ordinaire, qui soit capable de nous surprendre (agréablement, je veux dire ...) ? La réponse est oui, Zack Snyder en apporte la preuve. La recette ? Un peu d ‘humour, bien entendu ! Mais pas n’importe quel humour : noir, voire très noir ...

Et si la religion telle que nous la connaissons était récupérée par la science et se tournait vers l’avenir pour devenir l’instrument de la conquête de l’espace ? C’est l’idée développée ici par Robert Silverberg. Finies, les religions obsédées par leur propre passé et par l’interprétation de textes dont on ne sait même plus qui les a écrits et quelle époque ! La religion que Silverberg nous propose a un objectif, un but très précis... mais ce n’est pas pour autant qu’elle est exempte de tout défaut, loin de là ...