Et si vous étiez l’homme responsable de la 3ème guerre mondiale, une guerre nucléaire totale ayant failli faire disparaître l’humanité de la surface de la terre, et ayant donné naissance à une nouvelle race, des mutants télépathes faisant figure d’homo superior ? C’est la question - originale, que pose ce livre. Quant à la réponse ...

Une vrai série B comme on les aime, originale et surprenante, sans prétention mais vraiment prenante, avec un scénario qui tient en quelques lignes mais qui tient aussi la route, un acteur tout en muscles mais avec une vraie présence, de bons effets spéciaux et une bonne réalisation. Rien à redire, c’est nickel.

S’il fallait démontrer qu’un numéro 2 peut parfois être supérieure au numéro 1, Jeepers Creepers en serait un bon exemple. Et pourtant, le premier avait de nombreuses qualités... mais le 2 ... Si Victor Salva nous refait le coup sur un éventuel numéro 3, alors là on pourra vraiment crier au génie !

Un film de SF devenu culte, qui a donné naissance à une série qui en est à sa 10ème saison, et qui est pourtant un film « à l’ancienne », dans la grande tradition de certains chefs d’œuvres des années 50... et de films plus récents, tels que les Indiana Jones !

On en a vu, dans l’histoire de la SF, des armes bizarroïdes et improbables ... mais là, Collin Kapp remporte le pompon ! Et pourtant, ça se lit bien, on y croit... comme dans les romans de E.E. Doc Smith, on est pris dans l’action. Avec en prime un personnage féminin comme on en a rarement vu aussi !

Encore un film de zombies ? Pas du tout ! Enfin .. si, un peu quand même ... mais il vaut le coup d’oeil ! Fini le côté grand-guignolesque des morts-vivants. Dans 28 jours plus tard, ils font vraiment peur !

Le top du top de la SF ... Mais si vous ne connaissez pas Dune, allez voir l’article sur le bouquin, ou le film de David Lynch avant de lire celui-ci ... Et si je peux me permettre de donner un conseil : lisez le roman avant !

Cette mini-série de 4 épisodes de 1h30 chacun constitue une véritable révolution ... tant pour ce qui concerne les effets spéciaux que pour son scénario particulièrement déjanté ! Malheureusement, la série qui a suivi n’a pas été à la hauteur : plus classique et beaucoup moins surprenante et inventive...

L’adaptation d’un des jeux les plus cultes de l’histoire des jeux vidéo. On pouvait donc craindre le pire ... Mais non ! Bien entendu, Doom ne remportera jamais la Palme d’Or à Cannes ... mais ce n’est pas le pire des nanars non plus.

Peut être le premier film traitant de réalité virtuelle ( si l’on excepte Tron, qui en était très proche), avec en outre un scénario remarquablement intelligent signé Stephen King, de bons acteurs, et des effets spéciaux surprenants à l’époque, ce qui peut expliquer qu’il soit rapidement devenu « culte ». Cela justifiera la sortie d’un Cobaye 2, qui sera toutefois loin d’atteindre le niveau du premier, hélas ...

Un bon petit film d’horreur, plutôt bien fait, même s’il manque un peu d’humour et accumule quelques clichés , et qui joue sur une de nos peurs les plus viscérale, la claustrophobie. Avec, il faut le souligner car une fois n’est pas coutume, une bonne fin, intelligente et originale. Ca nous change un peu du monstre qu’on croit avoir tué, et qui reprend vie à l’avant-dernière seconde ...

La suite des Neuf Princes d’Ambre, qui poursuit l’aventure de Corwin là où Roger Zelazny l’avait laissé à la fin du premier volet. Donc pour en savoir plus, vous savez ce qu’il vous reste à faire ... Toutefois, vous n’êtes pas au bout de vos surprises : il reste beaucoup de choses à apprendre sur Ambre et ses Princes...

Un des films fantastique / horreur les plus réussis de l’histoire du cinéma, et un des plus marquants aussi. Aujourd’hui encore, il fait figure de référence et n’a rien perdu de son efficacité, même si la génération d’aujourd’hui, habituée aux pires horreurs, sera sans doute moins sensible que celle du début des années 70.

Tourner un film de 3 heures dont tout le monde connaît la fin (de même que le début et que le milieu, d’ailleurs), il fallait oser. Peter Jackson, l’homme de tous les défis (Le Seigneur des Anneaux, il fallait oser aussi ...), a réussi son pari : son King Kong , le troisième après l’original de 1933, et celui de 1976 avec la belle Jessica Lange, nous tient en haleine du début à la fin. C’est certainement pour cela qu’il a obtenu 2 records avec ce film, à la date de sa sortie : celui du plus gros budget (plus de 200 M$), et celui du plus gros cachet (20 M$) jamais touché par un réalisateur !

Un univers magique original, cohérent et pour une fois différent des clichés de l’Heroic Fantasy.

Une vraie réussite, une œuvre à part, qui ne ressemble à aucune autre... entre Fantastique et Science Fiction, entre le conte de fées et le Seigneur des Anneaux !

Le thème du mort-vivant, remis au goût du jour par Stephen King, ça décoiffe. Un roman étonnamment noir, pessismiste, et qui finit mal. Un des meilleurs du maître contemporain du genre. De l’horreur, sans concession, du début jusqu’à la fin.

Un beau matin, tous les portables de la planète sonnent. Et en quelques minutes, tout bascule : tous ceux qui décrochent et prennent l’appel deviennent fous... C’est la fin de notre civilisation. Seuls quelques marginaux, et quelques chanceux, tentent de survivre ...

Attention : chef d’oeuvre. Une fois de plus, les critiques français ont fait preuve d’une mauvaise foi remarquable, en descendant ce film remarquable, dont il faut signaler au passage qu’il est tiré d’un roman de David Brin qui a reçu le prix Hugo ... Pas de chance pour Kevin Costner, après Waterworld !

Un remake d’un chef d’oeuvre de la SF des années 50, signé Howard Hugues. Revisité par Carpenter, ça décoiffe : il ne s’agit plus de propagande anti-communiste, mais d’horreur à l’état pur ! Et c’est toujours efficace, même 25 ans après ...

Pourquoi ce film à méga-budget (Roland Emmerich venait de connaître un grand succès avec Stargate), ayant bénéficié d’une campagne de communication monstrueuse lors de sa sortie, dans la rubrique "à découvrir" ? Parce que la critique (française) a été unanime pour le descendre en flammes et que donc, rien que pour le principe, je prends sa défense !